... comme on dit communément.
Quand on passe à un autre dossier, il est bon de faire un bilan - même rapide - du précédent. En l'occurrence, il s'agit d'une année.
On donne souvent aux événements et aux choses un relief qu'ils ne méritent pas. Soit il y a une surévaluation, soit une dévaluation. Car bien sûr, tout fut mêlé, les joies, les peines, les rires et les larmes. Impossible de trancher au milieu de tout cela sans causer des ravages.
Je retiens ces temps de grâce, impromptus où un visage se dessine et vient comme en surimpression. Je ne saurais les dénombrer, je peux juste dire qu'ils furent et qu'ils constituent ce que je désire conserver précieusement parce qu'en eux tout le reste trouva ses racines en un muet amour.
Ce visage, il est connu pour être représenté partout, dans chacune de nos églises, dans beaucoup de nos foyers, dans mains livres d'art. C'est celui du Christ.
Un évêque missionnaire au Siam, au XVII ème siècle écrivait "Notre Seigneur Jésus Christ soit l'unique objet de nos pensées." En lui, nous trouvons le point d'équilibre et la force d'unir ce qui semble au premier regard (et parfois même au second !) inconciliable, non rapprochable. Il réconcilie les contraires puisqu'ils furent portés et assumé durant la Passion.
En lui sont toutes nos sources.
Et ses voeux à notre égard sont toujours valables et sincères...
Belle journée !

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