jeudi 3 novembre 2016

Dame des courants

Peu m’importent vos noms Dame des courants
Seules vos mains comptent
Vos sourires au bord de vos mains
Sont les oiseaux sans lendemains
Que le vent emporte
Fiancés à la dérive
Qui frappez aux portes des rives
Vos écharpes sont d’herbes et de petits papiers.

Louise de Vilmorin

1 commentaire:

Anonyme a dit…

j’ai appris à me contenter de ce que j’ai. Tel est mon discernement. Je ne vis plus en moi : c'est le Christ qui vit en moi. Je vis à l'extérieur de moi à la rencontre des fragilités de mon prochain et de mes propres fragilités, là où se love le Christ, qui est amour. Nathanael.