Peu m’importent vos noms Dame des courants
Seules vos mains comptent
Vos sourires au bord de vos mains
Sont les oiseaux sans lendemains
Que le vent emporte
Fiancés à la dérive
Qui frappez aux portes des rives
Vos écharpes sont d’herbes et de petits papiers.
Louise de Vilmorin
1 commentaire:
j’ai appris à me contenter de ce que j’ai. Tel est mon discernement. Je ne vis plus en moi : c'est le Christ qui vit en moi. Je vis à l'extérieur de moi à la rencontre des fragilités de mon prochain et de mes propres fragilités, là où se love le Christ, qui est amour. Nathanael.
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