* L’objectif (des moines) était de chercher Dieu, quaerere Deum. Des choses secondaires, ils voulaient passer aux réalités essentielles… Derrière le provisoire, ils cherchaient le définitif.
*La Parole ne conduit pas uniquement sur la voie d’une mystique individuelle, mais elle nous introduit dans la communauté de tous ceux qui cheminent dans la foi. La Parole de Dieu elle-même nous introduit dans un dialogue avec Lui.
* Dieu nous parle seulement dans l’humanité des hommes.
* (La Bible) exclut tout ce qu’on appelle aujourd’hui « fondamentalisme.
* L’absence de liens et l’arbitraire ne sont pas la liberté, mais sa destruction.
* Il faut l’humilité de l’homme pour répondre à l’humilité de Dieu.
* Pour beaucoup, Dieu est vraiment devenu le grand Inconnu.
* Quaerere Deum – chercher Dieu et se laisser trouver par Lui : cela n’est pas moins nécessaire aujourd’hui que par le passé. Une culture purement positiviste, qui renverrait dans le domaine subjectif, comme non scientifique, la question concernant Dieu, serait la capitulation de la raison, le renoncement à ses possibilités les plus élevées et donc un échec de l’humanisme, dont les conséquences ne pourraient être que graves. Ce qui a fondé la culture de l’Europe, la recherche de Dieu et la disponibilité à L’écouter, demeure aujourd’hui encore le fondement de toute culture véritable.

Belle journée !
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