My name is...

Tout à l'heure, j'ai fait du sport ! Dingue non ?

Bon, autant le dire tout de suite, je suis simplement allé voir le dernier opus de James Bond "Quantum of solace". Rien qu'à regarder, c'est déjà un bel effort, croyez moi...

Toujours autant de poursuites, d'action, d'adrénaline. Toujours autant de méchants rampant dans les coulisses de l'histoire. Toujours autant de belles femmes transies. Mais à la différence des volets conneriens et mooriens, les dites beautés n'ont guère le tempérament de s'écrouler mollement dans des draps de soie en soupirant "Oh James..." genre "Je ne suis pas une femme facile, mais bon..." (Dans le même temps, James songeait : "Ferme les yeux et pense à l'Angleterre...")

Elles sont à présent - comment l'exprimer ? - beaucoup plus volontaires (chacun entendra ce qu'il peut derrière l'image). 

James Bond, c'est le triomphe d'une vision manichéenne que je nous soupçonne de rêver quelques fois. 

Enfin, il y aurait les bons d'un côté et les méchants de l'autre. Enfin, il y aurait les bonnes et les mauvaises actions, du blanc et du noir. 

Alors que nous vivons souvent les événements en clair obscur, en grisaille. 

Il est rare que la vie soit blanche Persil ou noir d'ébène.

Quoi qu'il en soit, j'ai passé un bon moment et regarde ma balance d'un oeil torve : et si j'avais perdu du poids ? 007 Kg ?

Belle soirée !