"Qu'il t'arrive quelque bien qui te réjouisse, cela dure un jour, mais le lendemain ce bien qui faisait ta joie est passé. [...] Quel que puisse être ce bien qui fait ta joie, c'est en effet un bien qui passe. Si au contraire, tu mets en Dieu ta joie, tu entendras l'Ecriture qui te dit : "Que Dieu soit tes délices" [Ps 34,4] Ta joie sera d'autant plus solide que celui qui fait ta joie est immuable. [...] Nul ne saurait t'enlever Dieu si tu ne l'abandonnes le premier..."
Augustin : Homélies sur les Psaumes 144, 3
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire