
Ainsi, Il y eu durant cette escapade au fil des châteaux plusieurs déclinaisons du plaisir olfactif.
Les lys de Chenonceau tout d'abord. Enivrants, Etourdissants. Parfum capiteux au détour d'une galerie où d'un appartement. Parfum qui envahi tout l'espace, et celui du rêve même. Parfum féminin, royal pourrait on dire. Parfum d'un battement de paupières ou d'éventail et qui se répand dans la conversation, lentement, légèrement. Au dessous coule la Loire, douce, lente et majestueuse.
Il y eu aussi les pins de Chaumont dont la fragrance est particulièrement sensible à proximité des magnifiques écuries. L'odeur de la fraîcheur du matin déjà baigné de soleil, déjà veillée par le cours tranquille de la Loire. Et dire que dans ce parc déambula un éléphant offert par le maharaja de Kapurthala à la princesse de Broglie. La bête, peu farouche, devint vite l’attraction du Val de Loire et augmenta le prestige des lieux.

Entre les lys et les pins, faut il choisir ?
La question est - malicieusement - posée.

Belle journée !
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